StreamEnzo et Yilmaz POÉSIE Il s'en passe des choses dans ma cité (Guy Foissy) by @CM2_CHAPELLE on desktop and mobile. Play over 265 million tracks for free on SoundCloud. Play over 265 million tracks for free on SoundCloud.
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C’est ainsi que naît Migdal HaEmek. Pendant des années, cette petite ville de développement du nord d’Israël végète, oubliée par les responsables. À tel point qu’en 1959 – Panthères noires avant l’heure – un mouvement de révolte dirigé par David Ben Haroush va crier son mécontentement jusque dans les beaux quartiers de Haïfa. Peine perdue rien ne changera. Pour les caïds juifs locaux, c’est l’embellie ils font la loi. C’est à cette époque que s’y installe Rav David Grossman. Il n’a même pas vingt-cinq ans ! Le Rav fait un vœu Il aurait pu rester à Mea Chéarim, installer sa famille dans cette enclave ultra-orthodoxe et s’y consacrer, comme tant d’autres, à l’étude de la Torah. Mais non pendant la libération de Jérusalem, alors que les Arabes pilonnent la ville, il a passé avec les siens la plupart de son temps dans un abri inconfortable, protégé par des sacs de sable. Il a vécu la libération de Jérusalem. Pour lui, la victoire de nos soldats – leur courage et leur sacrifice – est de l’ordre du miracle. Il estime alors avoir une dette personnelle à l’égard du Tout-Puissant. Au Kotel, enfin accessible, il fait le vœu de quitter Jérusalem pendant un an et de résider dans un lieu où il pourrait aider les jeunes du peuple juif, ces jeunes qui ont donné leur sang pour libérer la ville sainte. Il s’en ouvre au rabbi de Lelov, rav Mordekhaï Biderman, qui lui dit Vois s’il n’y a pas quelque chose à faire à Migdal HaEmek… » Il y va en autobus, et le chauffeur ne comprend pas ce que vient faire ce rabbin dans cette ville qui a alors très mauvaise réputation criminalité, délinquance, vols, meurtres. Naturellement, il n’y a pas de yeshiva. Mais où sont les jeunes ? On lui répond A la discothèque ! » Et voici notre rav – barbe, péot et tsitsit au vent – qui s’y rend. À son entrée, la musique s’arrête car la surprise est générale. Mais Rav Grossman sait parler à ces jeunes. Il a travaillé pour le Hinoukh Haatsmaï, un réseau d’écoles religieuses. Pour lui, au-delà de la différence entre ashkénazes et séfarades, ce qu’il voit, ce sont d’abord de jeunes juifs happés par la modernité. Pour toucher leur cœur et leur âme, il leur raconte ce qu’ont vécu leurs aïeux au Maroc, en Tunisie. Et le courant passe entre eux ces jeunes l’adoptent, car il n’est pas venu pour leur faire des reproches. De cette rencontre surréaliste, la télévision israélienne produira en 1970 un film Le Rabbin des discothèques[1] ». Désormais, il sait qu’il doit rester à Migdal HaEmek. Il trouvera un local pour donner des cours à ces jeunes. On lui jettera des cailloux, mais sa détermination le protège. Un type très dangereux » Quelques jours plus tard, quand il réalise que de nombreux Arabes parquent leurs belles voitures devant la piscine municipale pour draguer des jeunes filles juives de familles défavorisées, cela le révolte c’est donc que quelqu’un leur en donne l’autorisation et en tire profit. Il se renseigne on lui dit que c’est un certain Kobi – un type très dangereux » – qui monnaie leur présence dans la ville. Qu’à cela ne tienne il demande à prendre un café avec lui. La rencontre se fait et l’homme reconnaît sa responsabilité … mais les affaires sont les affaires, rabbi. Il est difficile de gagner sa vie à Migdal HaEmek, et cet argent-là est facile. Pour une raison que j’ignore, ces Arabes veulent épouser des juives, et ils sont prêts à acheter ce droit. – Eh bien, si c’est une question d’argent, je connais quelqu’un qui est propriétaire d’une usine. Je vais lui parler pour qu’il vous embauche ». À cela, Kobi répond qu’il a toujours été son propre patron et qu’il est incapable de travailler pour qui que ce soit. Par contre, il lui dit que ce qu’il aimerait, c’est posséder un camion Si je pouvais conduire mon propre camion, faire des livraisons dans tout le pays et gagner dignement ma vie, je serais heureux. Je serais libre de mon temps, je pourrais me lever le matin à mon heure et travailler quand je veux. Vous m’avez demandé ce que je voudrais faire de ma vie vous avez ma réponse. » Avant de prendre congé, Rav Grossman trinque avec son hôte, en lui disant J’ai compris il vous faut juste un camion. » Il vend son appartement La suite de cette histoire est proprement incroyable. Rav Grossman avait reçu de ses parents et beaux-parents un appartement à Jérusalem, rue Hanna. Le dimanche suivant, il se rendit dans la capitale et le mit en vente. Avec l’argent, il fit l’acquisition d’un camion Volkswagen et peu de temps après, il se trouvait à nouveau à Migdal HaEmek, devant la porte du chef du gang. Déposant les clés du camion sur la table où ils avaient partagé quelques verres d’arak, il lui dit Vous m’avez dit que votre rêve était d’avoir un camion. Le voici qui se réalise. » Mais le rav ne s’en tint pas là. C’était une chose d’avoir un camion, mais il fallait trouver des clients. Rav Grossman prit contact avec le propriétaire d’une fabrique de vêtements de cuir destinés à l’exportation. Il lui exposa les raisons de sa visite. Chaque soir, l’usine livrait des vestes de cuir à l’aéroport pour les vols de nuit vers l’Europe Je voudrais que vous embauchiez Kobi pour les livraisons. S’il a un emploi lui permettant de gagner dignement sa vie, il n’aura plus besoin de soutirer de l’argent aux Arabes. Il nous aidera même à nous en débarrasser. » Et l’affaire fut conclue. [1] La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine Découvrez un exemplaire du magazine gratuitement et cliquez ensuite sur le rebord droit Votre magazine est livré chez vous en toute confidentialité S’abonner au magazine par téléphone ou par whats app 00972 0 54 254 45 20 ou au 01 86 98 27 27 Par email Andredarmon21 pay pal Ou directement sur le site Ou encore S’abonner au magazine livré chez vous en toute confidentialité. Remplir le formulaire Articles similaires Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Ils’en passe des choses dans ma cité. Il n’ y a qu à regarder. Moi un jour j’ai dit : « J’arrête, je regarde ». J’ai posé par terre mes deux sacs. Je me suis assis. J’ai regardé. Les gens venaient Les gens marchaient Les gens passaient Les gens tournaient Les gens filaient Les gens glissaient Les gens dansaient Les gens parlaient Gesticulaient Les gens criaient Les gens1eroctobre 2021 : en début de saison 2022, grâce au soutien de la ville de Valence, Minéral Spirit déménagera dans des nouveaux locaux, zone des Auréats. Ce complexe de 2900m² construit par le groupement d’entreprises locales Icare accueillera à terme les trois disciplines de l’escalade (le bloc, la difficulté et la vitesse).Article réservé aux abonnés LA cuisine américaine existe. Je l'ai rencontrée " chez l'habitant ". Et aussi, folklorique, chez Haynes 3, rue Clauzel 9e, tél. 878-40-63. Mais voici que Paris est en proie à l'américanisme culinaire le plus médiocre. Après Joe Allen aux Halles 30, rue Pierre-Lescot 1er, tél. 236-70-13, où, de reste, la viande - notamment les spareribs travers de porc - est de qualité, mais le service désinvolte et le juke-box agressif, il y a eu, rue de Ponthieu, l'ineffable Great American Disaster affaire anglaise, me dit-on, et ce doit être cela l'humour britannique ! et, derniers-nés, encore aux Halles, le Conway's et, à la porte de Versailles, dans l'Holiday Inn, certain Tennessee, pis encore. Mais où diable ces gens achètent-ils leurs viandes ? Au rayon fermeture, l'excellent restaurant de l'hôtel Montalembert, le Décaméron, que le fisc a tué. Celui aussi du Lutétia mais reste la brasserie. On en verra d'autres, et si je dis hélas ! pour les bons comme le Décaméron, je ne puis m'empêcher de penser " bravo " pour certains. Aux Halles, notamment, il y a épuration... Et cette Main à la pâte que j'avais, à l'ouverture, signalé comme un honorable italien devient littéralement une gargote. La Chaumière en Vile 4, rue Jean - du - Bellay 4e, tél. 033-27-34, où Jeannette, venue de son Petit Périgord, nous a bien déçu, vient d'être reprise par Serge Monassier, neveu d'Armand ex-Chez les anges. Pour les petites bourses, à signaler que Martin Cantegrit du Récamier a pris en main le Restaurant - buffet du Théâtre d'Orsay, dans la gare du même nom. On peut, certes, envoyer M. Jean-Louis Barrault à la gare... mais il y a aussi, depuis peu, dans le secteur, les gens de l'Hôtel Drouot, exilé. Pour eux - et vous, si vous passez par là, - Martin propose un menu à 26,50 F, service compris, comportant, par exemple ce fut le mien, jambon persillé, pot-au-feu, fromage, œuf à la neige. Avec un quart de rouge et le café, l'addition ne dépasse pas 33 F. Les plats du jour changent quotidiennement, et il y a une grillade pour les malades. Chartreuse de sardines Autre bonne adresse à prix honnête, le Petit Bourguignon 46, av. de-Gaulle, à Vincennes, tél. 328-05-27. C'est une filiale, si j'ose écrire, du Bœuf gros sel de Léon 70, rue du Volga 20e, tél. 343-96-58 et du Petit Salé 4, avenue Quihou, à Saint-Mandé tél. 328-36-44, et sur le même principe, décidé par Claude, fils de Léon ici, après les saladiers de hors-d'œuvre à discrétion, le bourguignon de l'enseigne ou un sauté d'agneau, un fromage un seul, le brie, excellent et un dessert. Le tout pour une trentaine de francs, sans le vin. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. 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J’ai eu l’impression d’être entouré de chaleur… C’était une onde bienfaisante… Il était comme collé à ma peau… Je me sentais baignée de joie et d’amour… » Certes, les variations sont multiples, mais le sens global exprimé demeure fondamentalement le même. Des personnes rationnelles témoignent de l’inouï, des signes des défunts, un contact sensible, réel, avec leurs proches décédés. Dans tous les cas, il s’agit d’une expérience spontanée, survenue sans l’intermédiaire d’un médium et le plus souvent dans les premiers jours ou semaines après le décès. Cette expérience indéfinissable porte un nom VSCD, vécu subjectif de contact avec un défunt », ou encore CAD pour communication avec les défunts ». Des termes qui, pour beaucoup de sceptiques, appartiennent au domaine des impressions, voire des affabulations mais qui, pour ceux qui portent témoignage, soulagent. Car nommer cette expérience est déjà la reconnaître. Des signes des défunts qui ne trompent pas De nombreuses personnes ont ainsi des contacts avec des défunts sans passer par des médiums. Ce sont des personnes que l’on pourrait qualifier de normales » et qui ne se savent douées d’aucun don paranormal. Toutes évoquent pourtant des VSCD qu’il est possible de classer en une brève typologie. Les VSCD les plus courants sont d’ordre sensitif évocation d’une sensation inédite “d’enveloppement d’amour” et de chaleur intense, un sentiment de paix et de joie infini, tactile on se sent touché par une présence qui parfois peut refaire un geste familier du défunt, symbolique comme les papillons, les oiseaux ou les arcs-en-ciel, physique une lumière ou un appareil électrique qui s’allume ou s’éteint, une montre qui s’arrête définitivement à l’heure du décès, visuel vision partielle ou complète du défunt, olfactif une odeur évoquant le défunt. Le VSCD peut survenir aussi dans un rêve où le défunt transmet un message ou encore une communication avant l’annonce du décès. Un exemple frappant a ainsi été rapporté à plusieurs reprises celui des dessins d’enfants ayant vécu en camps de concentration. Alors que ces dessins ont été retrouvés dans des lieux où la mort était omniprésente, on observe sur plusieurs la présence de papillons. La symbolique prend une dimension encore plus forte si l’on se souvient que, dans la mythologie grecque, l’âme acquiert des ailes de papillon. Ainsi elle peut manifester son amour de différentes manières… Sur le même sujet Nos proches nous parlent, apprenons à les entendre, l’interview de Valérie Seguin Le jour où j’ai commencé à communiquer avec les morts Témoignages ils ont reçu un message de leur défunt, ils racontent Une passeuse d’âmes nous explique comment décrypter les signes des défunts Des chiffres parlants… Mais peu de recherches sur les signes des défunts L’expérience du vécu subjectif de contact avec un défunt » ne serait pas si rare. 25% des Européens et 20 à 44% des Américains déclarent l’avoir éprouvée. Pour l’Europe, une large enquête a été menée dans 13 pays. Elle porte sur les domaines de la télépathie, de la clairvoyance et du contact avec les morts. Sur ce dernier point, les individus sondés devaient répondre à la question Avez-vous déjà eu l’impression d’être réellement en contact avec une personne décédée ? De grandes différences par pays apparaissent, puisque les réponses positives varient entre 9% et 41% des sondés. l’Islande en tête avec 41%, puis l’Italie avec 34%, l’Allemagne de l’Ouest 28%, la Grande-Bretagne 26%, la France 24 %, la Belgique 18%, l’Irlande et l’Espagne 16%, la Finlande et la Suède 14%, la Hollande 12%, le Danemark 10% et la Norvège 9%. En résumé, il ressort en moyenne qu’un quart des Européens reconnaît avoir eu un contact direct avec un être décédé. Pour les États-Unis, les estimations, prudentes, annoncent 20% de réponses positives à la question. Mais certaines estimations avancent un pourcentage beaucoup plus élevé, notamment chez les parents et les enfants en deuil, les veufs et veuves. Malgré ces chiffres élevés, nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements de la recherche dans le domaine. A ce jour, il n’existe aucune équipe de chercheurs qui répertorient, de façon systématique, les récits de VSCD, en écartant ce qui est de l’ordre du psychiatrique hallucinations, délires d’interprétations etc. pour ne s’en tenir qu’à des faits tangibles. Les voies d’investigation sont désormais ouvertes… » constate le psychiatre français Christophe Fauré, spécialiste de la fin de vie et du deuil. À écouter Anne Tuffigo, médium, dialogue avec les défunts et décrypte leurs signes Podcast “La mort peut être un cadeau”. Des signes des défunts racontés par des proches Depuis que je m’intéresse à ce sujet, les langues se délient, plusieurs personnes me parlent spontanément d’expériences comparables. Pour n’en citer que quelques-unes, trois personnes m’ont raconté avoir reçu la visite d’un défunt ne sachant pas qu’il était mort. L’une a éprouvé une forte sensation de présence du défunt auprès d’elle. La seconde a senti un souffle qui la bousculait et a spontanément pensé au défunt. La troisième personne dormait et a eu l’intuition du décès dans un rêve. Toutes trois se trouvaient à des centaines de kilomètres du lieu du décès. Sophie, la compagne d’un ami récemment décédé, me confie que le matin des funérailles, un oiseau a cogné à deux ou trois reprises à sa fenêtre à coups de bec. Elle l’a pris comme un signe. Quelques jours plus tard, alors qu’elle se reposait, elle a cette fois fortement ressenti la présence physique de son compagnon dans son lit pendant environ cinq bonnes minutes, comme si, dans un puissant enveloppement d’amour, il la tenait dans ses bras. Ce fut tellement intense, me dit-elle, que j’étais persuadée qu’il était là. Puis j’ai senti qu’il se détachait de moi. Et à ce moment-là, je me suis tout de suite retournée pour voir si cette “présence” était là physiquement. Les jours suivants, j’étais pressée d’aller me coucher car j’avais l’espoir que cette expérience se renouvellerait, mais cela ne s’est jamais reproduit. » Lire aussi Depuis un an, je suis en contact avec des défunts PublicitéIls passeraient aussi par les ondes et le végétal… J’apprends aussi que lors des funérailles de la mère d’une connaissance, le téléphone de la meilleure amie de la défunte a sonné. L’écran affichait le numéro de la personne décédée. Néanmoins nul ne se trouvait au bout du fil et après vérification, personne n’avait utilisé le téléphone de la défunte. Troublant non ? D’autant plus que cette connaissance est plutôt réfractaire à ces sujets. Ce phénomène téléphonique figure parmi les études réalisées sur les VSCD. Autre signe assez surprenant encore, perçu à travers le végétal deux personnes m’ont rapporté un témoignage similaire. L’une d’entre elles a vu la plante que lui avait offerte son frère décédé refleurir le lendemain de son décès, la plante était pourtant morte et ne recevait aucun soin depuis des mois. Elle n’a jamais refleuri ensuite… À lire Les morts nous entendent-ils ? Peut-on communiquer avec eux ? Une médium nous éclaire sur le sujet ! Au-delà du cercle des intimes Au départ, le pourcentage relevé par les études d’une personne sur quatre ayant reçu ainsi un signe d’un défunt, m’a paru incroyable. Mais je me suis vite aperçue qu’il suffisait que je parle de ma propre expérience de VSCD, ressentie lors du décès de mon père phénomène qui a duré 3 jours et demi !, pour que d’autres que moi osent à leur tour en parler. La plupart des gens craignent tout simplement de passer pour des illuminés ! En attendant plus de confirmations scientifiques de ces phénomènes, le partage d’expérience demeure une manière d’en attester. Sans cela, combien de fois ne passerait-on pas à coté de ces phénomènes, sans savoir que c’est peut-être notre cher défunt qui nous envoie un signe… À moins que nous ne préférions qualifier tout cela de hasards »… À lire Valérie Seguin, est l’auteure du film “Et si la mort n’existait pas” visible sur Youtube et du livre “Les trois jours et demi après la mort de mon père” Editions Les Arènes, 2015, un témoignage enquête aux frontières de la mort.8s7On5G.